24 Octobre 2017
Il était une fois, sur la route de la destinée,
Venus se poser, des nuages.
Tant de nuages,
Si opaques,
Cachant la lumière.
Le chemin s’en trouve dissimulé.
Perdu dans le brouillard,
Cherchant sa voie, à tâtons.
Puis les nuages se dissipèrent,
Pour laisser place à la lumière,
Très vite, si vite,
La lumière se fit intense.
Si éblouissante, tellement forte,
Tant de lumière,
Trop de lumière.
Puis les nuages réapparurent,
Avant même que les yeux s’habituent.
La crainte, d’avoir loupé le coche,
De rester perdu,
Aussi bien dans l’ombre que dans la lumière.
Le doute, il faut s’enlever,
Car les nuages finiront par partir
Par revenir,
Et par s’en aller.
Quand un rayon lumineux
Se frayera un chemin dans la pénombre
Nous y verrons plus clair
Et poursuivrons notre destinée
En pleine sérénité.
Jusqu'au retour des nuages.